...notamment le lancement d’une procédure de référendum d’initiative partagée. En quelques semaines à peine, le nombre de signatures récoltées a dépassé les prévisions, prouvant ainsi l’opposition des citoyens au vent de privatisation que le gouvernement s’obstine à souffler ; car au-delà d’ADP, c’est bien la privatisation du bien public qui est aujourd’hui en jeu.
Comme il le fait avec le logement social, le gouvernement persiste et signe dans sa vision court-termiste qui ne tient compte ni de l’exemple des anglais qui renationalisent aujourd’hui en masse après avoir multiplié les privatisations sous l’ère Thatcher, ni des alertes des différents corps de la société dont les associations d’habitants telle que la CNL.
En tant qu’association de défense des intérêts des habitants très attachée à la préservation du bien commun et des services publics, la CNL s’engage en faveur du référendum d’initiative partagée et mène une campagne pour inciter la population à se prononcer sur le sujet.
Face à de tels enjeux, les habitants ont leur mot à dire !